vendredi 19 avril 2024

CHRONICORUM BELLI du 18 avril

18 avril 1915 : Roland Garros abattu (Belgique).

Le sous-lieutenant Roland Garros est abattu pendant une mission au-dessus de la Belgique. Touché par une balle de la DCA allemande, le circuit d’arrivée d’essence du moteur de son Morane-Saulnier est coupé. Obligé d’atterrir à l’intérieur des lignes allemandes à Hulste en territoire belge occupé. Il est fait prisonnier avant d’avoir pu mettre le feu à son avion. Les Allemands découvrent donc à cette occasion le dispositif de tir à travers le champ décrit par l’hélice, que Roland Garros a contribué à mettre au point. C’est Anthony Fokker qui étudie le système et l’adapte à son Fokker E III.

Après 3 ans de captivité et de nombreuses tentatives d’évasion, Garros parvient à s’évader le 15 février 1918 en compagnie du Lieutenant Marchal, déguisés tous deux en officiers allemands. Ils réussissent à gagner les Pays Bas et l’Angleterre.


18 avril 1916 : création de l’escadrille La Fayette (Luxeuil-les Bains).

La première escadrille composée de pilotes américains volontaires, la N 124 « La Fayette » est formée. Elle est placée sous le commandement du capitaine français Georges Thénault.

Alors que les États-Unis ont déclaré leur neutralité vis-à-vis du conflit européen, le Dr Edmund Louis Gros, le directeur médical de l’American Field Service (AFS) et Norman Prince, un Américain expatrié en France, entreprennent de persuader le gouvernement français de l’intérêt que pouvait avoir une escadrille de volontaires américains combattant aux côtés de la France. L’objectif est alors que les efforts de ces volontaires soient reconnus par le public américain et donc, que la publicité créée par leurs actions, éveillerait l’opinion publique américaine et la conduirait à demander l’abandon de la neutralité.

Autorisée par le Département de l’Air le , l’Escadrille américaine N 124 est déployée à partir du  à Luxeuil-les-Bains. Ses avions sont des Nieuport 11 et ont pour mission l’escorte de bombardiers anglais et français.

Le , la base aérienne subit un bombardement aérien qui blesse six hommes, dont le soldat Pierre Massé qui décèdera peu après.

Le , l’escadrille recense sa première victoire lorsque Kiffin Rockwell abat un biplan.

En juin elle s’installe à Bar-le-Duc pour prendre part à la bataille de Verdun, où elle remporte 13 victoires homologuées en 146 combats. Elle déplore en ce mois son premier pilote mort au combat : Victor Chapman.

Elle reprend ensuite ses missions d’escorte au profit des bombardiers, puis est engagée dans la bataille de la Somme, après avoir troqué ses Nieuport XI pour des Nieuport 17 et des SPAD S.VII5. Elle subit là sa seconde perte Kiffin Rockwell.

Tous les pilotes américains n’appartenaient pas à l’escadrille Lafayette, un grand nombre de volontaires américains servaient au sein du Royal Flying Corps, du Royal Naval Air Service, et de la Royal Air Force.

En octobre, le capitaine Georges Thénault choisit le premier emblème collectif de l’unité : une tête de Séminole. En février 1917 est adopté un second emblème : une tête d’indien séminole. Harold Buckley Willis donne la dernière touche au modèle peint par le mécanicien Suchet et Raoul Lufbery y ajoute la croix en forme de svastika.

En décembre 1916 une objection allemande parvient au gouvernement américain sur l’utilisation du nom d’Escadrille américaine pour l’unité d’aviation, alors que les États-Unis sont supposés neutres. Ce même mois est donc adopté le nom d’Escadrille Lafayette.

Lorsqu’en 1917 les États-Unis entrèrent en guerre aux côtés de l’Entente, l’escadrille fut intégrée à l’aviation américaine sous l’appellation de 103rd Aero Squadron, et placée sous le commandement de William Thaw II.

L’escadrille La Fayette est constituée de volontaires, elle compte à l’origine 42 aviateurs dont 4 officiers Français. Elle est financée par des Américains francophiles qui s’engagèrent au côté de la France, tels que Norman Prince, le fils d’une famille de riches industriels américains habitant la ville de Pau, qui périt en combat aérien. Puis avec un plus grand nombre de volontaires, son nom devient le Corps d’Aviation La Fayette (Flying Corps Lafayette) dans lequel 209 aviateurs ont servi, parmi lesquels Kiffin Rockwell, Norman Prince, Raoul Lufbery, Eugene Jacques Bullard (premier pilote de chasse noir, et unique de la Première Guerre mondiale). En 1917, lors de l’entrée en guerre des États-Unis, de nombreux pilotes de l’escadrille La Fayette rejoignent l’United States Army Air Service américain, mais pas tous. Ainsi, l’USAAS refuse l’intégration du noir Bullard. Edwin Parsons, entre autres, refuse de quitter ses camarades de combat français et de se retrouver sous l’autorité d’officiers américains qui ne se sont jamais battus. En décembre 1917, l’escadrille est basée sur l’aérodrome de la Noblette.

L’escadrille cesse d’exister le 18 février 1918 et c’est le 103e escadron de poursuite aérienne qui reprend ses insignes et ses traditions dans la force aérienne américaine. Actuellement c’est l’Escadron de chasse 2/4 La Fayette qui a repris le nom dans l’armée de l’Air et de l’Espace.

Le pilote américain Norman PRINCE, à côté d’un « bébé » Nieuport, armé de fusées-torpilles LE PRIEUR (ancêtres des roquettes françaises) destinées à abattre les ballons et dirigeables allemands Drachen et Zeppelin.

18 avril 1942 : premier raid aérien américain sur Tokyo.

En guerre depuis bientôt 5 mois, les États-Unis n’ont pas réalisé de progrès significatifs dans le Pacifique où règnent en maîtres les Japonais. De plus, depuis Pearl Harbor, les Américains éprouvent le besoin de remonter le moral de leurs troupes et de leur Nation tout en ébranlant les certitudes japonaises quant à l’inviolabilité de leur espace aérien. Il est donc décidé un bombardement de Tokyo pourtant hors de portée des rayons d’action des bombardiers de l’époque. 16 bombardiers B-25 sont modifiés afin de pouvoir décoller du porte-avions Hornet. 16 équipages, tous volontaires, sont entraînés pour cette mission commandée par le Lt-Col Doolittle. Les avions ne peuvent emporter qu’une tonne de bombes aussi le bombardement ne fait-il que peu de dégâts matériels sur les cibles choisies. Il est important de noter que le commandement américain ne sélectionne que des cibles militaires. Ce faisant, il pense éviter l’erreur psychologique commise par les Allemands durant le Blitz (bombardement de Buckingham Palace qui scandalisa les Britanniques et renforça leur cohésion).

Le bombardement est très fortement médiatisé aux USA, mais a peu de conséquences graves et directes sur le cours de la guerre du Pacifique malgré la surprise qu’il cause aux Japonais. Le retour n’étant pas permis faute de carburant tous les bombardiers doivent se poser en Chine une fois l’opération terminée. La plupart des bombardiers s’écrasent ne trouvant pas la piste d’atterrissage prévue mais seulement 6 membres de l’audacieuse expédition périssent (3 durant le raid, 3 fusillés par les Japonais). Doolittle et ses hommes sont exfiltrés par la Chine.


18 avril 1943 : mort de l’amiral Yamamoto (Pacifique).

L’avion de l’amiral Isoroku Yamamoto, un bombardier « Betty », est abattu en vol par une section d’un vol de Lockheed P-38 « Lightning » menée par le commandant John W. Mitchell au-dessus de l’île de Bougainville, à l’ouest de la Nouvelle-Guinée. Yamamoto est tué par une section de quatre P-38 conduite par le Capitaine. Thomas G. Lanphier, assisté par le First Lieutenant Rex T. Barber. Cette action est le résultat l’interception d’un message japonais codé annonçant la visite de Yamamoto.


18 avril 1947 : la Royal Navy fait sauter 6 700 tonnes TNT pour détruire les installations militaires d’Heligoland en Allemagne.


18 avril 1954 : Huguette 6 tombe (Dien Bien Phu).

« Après les furieux combats de la bataille des Cinq collines, à l’Est du camp retranché, l’armée populaire poursuit sa phase de « grignotage » du dispositif français et dirige momentanément son effort sur la face ouest. Sur Huguette 6, les liaisons et les ravitaillements étant devenus de plus en plus difficile, décision est prise de replier le point d’appui isolé. C’est chose faite dans la nuit du 17 au 18 avril mais une centaine seulement des hommes du capitaine Bizard – 5e bataillon de parachutistes vietnamiens (5e BPVN) – parviennent, en sautant par-dessus les boyaux creusés par le Viêt-Minh, à rejoindre le sous-secteur centre. La perte d’Huguette 6 a comme conséquence un nouveau rétrécissement de la zone de largage ». Ivan Cadeau (SHD).

Lire sur Theatrum Belli : Le journal de marche de la bataille (20 novembre 1953 – 7 mai 1954)


18 avril 1955 : mort d’Albert Einstein (Princeton, New Jersey).

Physicien successivement allemand, apatride (1896), suisse (1901) et sous la double nationalité helvético-américaine (1940). C’est le père de la relativité, prix Nobel de physique en 1921.


18 avril 1958 : mort à 85 ans du général Maurice Gamelin

Il commande l’Armée française pendant la drôle de guerre de 1939-1940. Sa stratégie mise en déroute par les Allemands lors de la percée de Sedan, il est remplacé par le général Weygand le . Pendant le régime de Vichy, Gamelin est arrêté puis, en 1942, interné en Allemagne.

Le généralissime des Forces armées françaises au cours de la Seconde Guerre mondiale était un des généraux les plus intellectuels de son époque. Il était respecté, même en Allemagne, pour son intelligence et sa subtilité. Malgré cette finesse et ses brillants états de service pendant la Première Guerre mondiale, son commandement des armées françaises jusqu’à la bataille de France en mai 1940 fut un désastre.

Gamelin soutint un plan stratégique défensif consistant à attendre l’attaque allemande, en conservant un front continu de la Suisse à la mer du Nord, derrière la ligne Maginot le long de la frontière allemande, puis avec des divisions de second ordre derrière l’obstacle naturel des Ardennes, enfin grâce à des troupes mobiles jusqu’à la mer. Anticipant l’agression de la Belgique et des Pays-Bas, il mit au point une manœuvre consistant à avancer en Belgique jusqu’à la Dyle pour à la fois raccourcir la ligne de front et rallier les troupes belges. Il imposa la « variante Breda », consistant à placer à l’extrême nord du front la 7e armée du général Giraud, pour « tendre la main aux Hollandais ». Le plan Dyle-Breda qui consiste à utiliser la seule armée placée en réserve pour se porter jusqu’en Hollande est adopté en dépit du fait que la quasi-totalité de ses grands subordonnés le désapprouvent. Cette manœuvre fut exécutée dès le début de la campagne, déplaçant les meilleures unités françaises et leur soutien aérien très loin du lieu de l’attaque véritable des Allemands.

Après la percée de Sedan, le président du Conseil Paul Reynaud remplaça Gamelin, comme il avait déjà voulu le faire à la veille de l’offensive allemande. Le , alors que les armées françaises et britanniques cèdent sur tous les fronts, il obtient du président Lebrun le limogeage du généralissime Maurice Gamelin, vaincu par son manque de détermination. Il le remplace par le général Maxime Weygand (73 ans), qui s’est acquis un certain prestige en qualité de second du maréchal Foch à la fin de la précédente guerre.

Au rang des nombreuses erreurs de Gamelin, on peut citer :

  • Une faible capacité à mener les hommes ainsi qu’à les organiser, et un manque de charisme général. Ses subordonnés, dit-on, l’avaient surnommé « Baudelaire », car on disait que toute sa doctrine se résumait dans le vers : « Je hais le mouvement qui déplace les lignes » ;
  • Des conceptions obsolètes de l’emploi de l’aviation, des chars, des éléments motorisés, de l’artillerie, des fortifications. Il ne tint aucun compte des développements modernes et ne tira guère d’enseignements de la rapidité de la campagne de Pologne, restant attaché à l’expérience du conflit de 1914-1918, et arguant que « la Pologne n’est pas la France ». S’il adhérait à cette doctrine conservatrice, force est d’observer que le gouvernement et la plupart des officiers de l’époque y souscrivaient également ;
  • La mauvaise organisation du plus haut niveau de l’armée, se caractérisant par une dilution des responsabilités sur un front crucial ; en Belgique, on ne sut trop qui commandait la coalition interalliée : était-ce le général Billotte, chef du 1er groupe d’armées, le général Georges, commandant du front Nord-Est, ou le généralissime lui-même ? L’envoi d’un officier de liaison auprès du roi des Belges Léopold III, le , ne pouvait être que trop tardif pour permettre une coordination efficace entre Belges et Alliés. Cependant, dans Servir, ses mémoires parus en 1946, Gamelin souligne qu’il avait voulu empêcher un déroulement fatal aux événements de la campagne de 1940 en entretenant des rapports secrets avec le roi Léopold III, commandant en chef de l’armée belge, ce qui lui avait révélé le plan allemand d’offensive par les Ardennes connu des services belges de contre-espionnage ;
  • Un commandement privilégiant les contacts avec les hommes politiques parisiens — depuis son quartier général de Vincennes — plutôt que la proximité du front. Ce point était encore exacerbé par la réticence de Gamelin à employer la radio pour transmettre ses directives, préférant le téléphone filaire ou les coursiers. Le processus de décision français était ainsi plus lent que celui des Allemands. En ce qui concerne le choix de rester à Vincennes, il s’explique par la loi de 1938 sur la direction de la guerre. La responsabilité de la direction de la guerre incombe au gouvernement. C’est écrit en toutes lettres et c’est cette loi qui s’applique dès le  ;
  • Une vision du théâtre d’opérations qui lui fit regarder le secteur des Ardennes comme impénétrable (malgré les avertissements qu’il a reconnu avoir reçus de Belgique), au grand dam du général Corap, commandant la 9e armée française dans ce secteur, qui ne cessa de signaler en vain l’insuffisance en hommes et en matériel sur ce front et sa perméabilité de fait ; de même le maintien de forces importantes derrière la ligne Maginot excessivement gourmande en personnel alors que celle-ci aurait dû permettre une grande économie de troupes.

18 avril 1983 : attentat suicide contre l’ambassade américaine à Beyrouth (Liban).

63 personnes sont tuées, dont 17 Américains, dans l’explosion d’un pick-up chargé de 150 kg d’explosif qui défonce le portail de l’ambassade américaine. Environ 120 autres personnes furent blessées.


18 avril 1988 : bataille des plateformes pétrolières Sassan et Sirri

Lors de la guerre Iran-Irak, les belligérants minèrent le détroit d’Ormuz et le golfe Persique et attaquèrent des centaines de navires civils, entravant la navigation des pétroliers et des navires de commerce. L’US Navy commença la conduite d’opérations dans le golfe Persique afin de protéger les navires battant pavillon américain (dont des pétroliers koweïtiens) des attaques des forces navales iraniennes dans le cadre de l’opération Earnest Will.

Un plan secret fut mis en place dans le cadre Earnest Will et nommé opération Prime Chance. Les équipes 1 et 2 des SEAL ainsi que plusieurs unités des Special Boat Units et des équipes spécialisées en explosifs furent réunies sur deux barges mobiles utilisées pour l’exploitation pétrolière et louées à KBR, et furent transportées par les hélicoptères du 160th Special Operations Aviation Regiment. Au cours de l’opération, les SEAL menèrent des missions VBSS (capture de bateau) pour contrer les navires mouilleurs de mines iraniens. La prise du Iran Ajr, les preuves recueillies sur le navire par les SEAL et les techniciens en explosifs permirent plus tard à l’US Navy de retrouver l’origine des mines qui frappèrent la frégate USS Samuel B. Roberts (FFG-58). Cette chaîne d’événements conduisit à l’opération Praying Mantis.

Dans le cadre d’une opération de déminage, la frégate américaine USS Samuel B. Roberts (FFG-58) de la classe Oliver Hazard Perry fut gravement endommagée le  par une mine iranienne.

Les États-Unis, qui entretenaient de très mauvaises relations avec l’Iran et soutenaient l’Irak, décidèrent de lancer une opération de représailles, dont le nom de code fut Praying Mantis (mante religieuse).

Le 18 avril, à partir de 8 h 00, plusieurs unités navales américaines, appuyées par l’aviation embarquée du porte-avions USS Enterprise (CVN-65), attaquèrent et détruisirent les plates-formes pétrolières iraniennes Sassan et Sirri, équipées entre autres de canons antiaériens. Selon le gouvernement américain, ces plates-formes étaient utilisées comme bases par les vedettes rapides iraniennes.

À 9 h 25, deux hélicoptères Boeing CH-46 Sea Knight déposent les équipes de Marines sur les plates-formes, ceux-ci récupèrent des équipements et documents.

Les vedettes de la marine iranienne ainsi que des bâtiments plus importants, comme les frégates Sabalan et Sahand de type Vosper Mk5 britannique (nom local : classe Alvand), engagèrent alors quelques heures plus tard le combat contre les Américains. Il s’ensuivit une bataille appuyée au cours de laquelle les Iraniens perdirent d’abord un patrouilleur type Combattante II (P 225 Joshan) qui, après avoir tiré soit un missile Sea Cat soit un Harpoon à 11 h 30, fut détruit par quatre missiles Standard lancés par la frégate USS Simpson (FFG-56) puis un missile Harpoon tiré par le Wainwright — il s’agit du seul duel naval exclusivement à coups de missiles livré par la marine américaine —, une des cinq vedettes Boghammar qui avait attaqué une barge panaméenne à 1 h 30 est coulée par des Intruder à 2 h 25 ainsi que la frégate Sahand, touchée par deux missiles AGM-84 Harpoon, deux bombes AGM-123 Skipper II, deux bombes à sous-munitions tirées par des avions Intruder et par un missile Harpoon lancé par le destroyer Joseph Strauss, coule à h 30, tandis que la Salaban était très endommagée à 5 h 15, les responsables américains décidant de ne pas la couler. 87 militaires iraniens furent tués et plus de 300 blessés. De son côté, l’United States Navy déplorait la perte d’un hélicoptère AH-1T SeaCobra de l’USMC stationné sur le USS Trenton (LPD-14), apparemment par accident, et le décès de ses deux pilotes.

Enfin, selon des sources de la Force aérienne de la République islamique d’Iran, un des deux McDonnell Douglas F-4 Phantom IIE iraniens visé par deux missiles RIM-156 standard tirés par le USS Wainwright (CG-28) à 12 h 50 aurait également subi des dommages importants lorsque ceux-ci l’ont frôlé, ce F-4 ayant quand même pu rentrer à sa base en Iran.

Cet affrontement est la plus grande bataille navale livrée par les États-Unis depuis la Seconde Guerre mondiale.

 

 


18 avril 1996 : bombardement de Cana par l’aviation israélienne,

au cours de l’opération dite « Raisins de la colère », au Liban du Sud, faisant 106 morts civils réfugiés dans un camp de Casques bleus.

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